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THE BADGER, le film

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Un mois, une moto, trois courses. Un américain dingue de Royal Enfield, un mois pour préparer une moto qui servira à se rendre sur place et à courir, trois fois, et à rentrer avec par la route, à l’ancienne. Le film a obtenu le prix du public Portland Motorcycle Film Festival

BONNE ROUTE LÀ HAUT MONSIEUR LAMBERT

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J’avais rencontré Monsieur Lambert au pied du Ventoux, à l’invitation de Pierre Faure, l’organisateur de la Montée Historique de Malaucène Mont Ventoux, il était là ce jeune homme de 80 et quelques années si malicieux et plein d’histoires et d’anecdotes à raconter, avec son ami Claude Douniaux qui partage avec lui la passion des side-cars à moteur flat-twin, j’avais eu la chance d’être convié par Pierre Faure au diner auquel certains participante à la montée historique pouvaient participer (Pierre m’ayant confondu avec un VIP) et ce fut un réel plaisir à nouveau d’écouter ces charmants jeunes hommes raconter leurs souvenirs qui couvraient sept ou huit décennies.
 Et puis avec mon pote Yvan, également fanatique de flat-twin mais plus en position solo que side, nous étions allé voir monsieur Lambert, Claude de son prénom dans sa maison de Tulette, nichée au dessus de son atelier, qui avait été pendant si longtemps une concession moto, l’énorme logo BMW peint sur la façade et pas encore totalement mangé par la vigne vierge en témoignait. Avec beaucoup de gentillesse, il nous avait reçu et avec beaucoup de patience, il avait supporté les demandes de renseignements pénibles d’Yvan sur les réglages des vilos de R50s et autres anecdotes sur les R50rs dont monsieur Lambert n’avait oublié aucune cote ni aucun détail.
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 Et puis la visite de l’atelier, toujours situé en dessous de l’appartement fut un vrai choc, les machines outils remplissaient l’espace, les souvenirs couvraient tous les murs, partout la passion de la moto, de la mécanique, des moteurs et de la course. Et puis dans un coin un fabuleux side-car attelé à une sublime Norton Inter…
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Monsieur Lambert nous a quitté dernièrement, il n’a pas pu aller à la montée historique de Malaucène cette année, une intervention médicale bénigne pour une prothèse de hanche s’est hélas transformée en complication. Nous gardons un souvenir très fort de cet homme si désireux de transmettre sa passion et son savoir, Les photos réalisées le jour de notre visite feront l’objet d’un article complet dans le prochain RAD#23 avec un texte d’Yvan afin de rendre à monsieur Lambert l’hommage qu’il mérite.
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VIA LIBERA, LA VOIE EST LIBRE

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Une belle vidéo, superbement réalisée par Combo Entertainment, une société Suisse basée à Zurich, pourtant le motard mis en scène dans ce film traverse l’Italie sur sa belle Triumph
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Le SNOWSCOOT par Joey Ruiter

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Joey Ruiter est un designer de grand talent, allez jeter un coup d’œil à son site internet (lien à la fin de cet article), déjà lui même très créatif, vous découvrirez l’étendue de ses ressources. Son interprétation du scooter des neiges nous a fortement interpelé, en voici quelques images et une vidéo qui vous donneront un bon aperçu.
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VOIR SON SITE ICI

TOM FLEURY, des couteaux très RAD

De superbes couteaux fabriqués en Auvergne, ça vaut le détour. Vous les avez vu dans RAD#21

Déjà sur leur site internet, on peut voir leurs trois trombines, c’est bien parce que directement on sait qu’on a à faire à des numéros, ce trio composé d’un alchimiste-joailler, d’un coutelier-motard (barbu c’est obligé) et d’une graphiste de choc propose une gamme de couteaux aussi beaux qu’efficaces, basé sur l’expertise de coutellerie traditionnelle mêlée à l’innovation dans l’inclusion de tout ce qu’ils trouvent dans un matériau connu d’eux seuls : le christallium©…

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Ça vous a un côté vieux grimoire et potion magique tout ça, mais c’est en fait un pied dans la tradition et un pied dans le futur, ce qui est au mileu des deux pieds étant posé dans le bassin de Thiers dans le Puy-de-Dôme, haut lieu mondial du couteau et du Gaperon. Allez voir leur site, ça vaut le coup d’œil, voire le coup de CB, pourquoi pas un couteau avec le logo RAD dedans un jour ?
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www.tomfleury-coutellerie.com

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Visite chez Jacky Grolet, Morgon Racer

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L’ami Jacky passe à la télé, l’occasion de se repasser quelques photos que nous avions fait chez lui.


Rencontre beaujolaise avec un biker-viticulteur …

MOT & ARTS 2016 à HOSSEGOR

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Après une première édition fort réussie, l’équipe de Hapshot Wheels remet ça les 16 et 17 septembre à Hossegor dans les Landes avec MOT & ARTS 2016. Nous avions soutenu l’initiative en 2015, pas de raison de ne pas continuer en 2016, il y a même des chances que nous y allions. Voici le teaser de l’événement, quelques images qui vous donneront envie de cocher la date sur votre calendrier.
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La page FACEBOOK de l’asso ICI

The Bike Shed prend Paris (2eme fois)

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Il faut un blog / lieu branché anglais pour organiser un événement d’envergure en France, c’est donc Dutch et son Bike Shed qui s’y colle. L’an passé, le flamboyant briton avait investi le Carreau du Temple pour aligner quelques belle motos et réunir ce qu’il faut de barbus et d’enthousiastes de la meule transformée venus de la capitale et des alentours. Cette année pour sa deuxième édition française ce sera les Docks, la Cité de la Mode et du Design qui servira d’écrin à cette désormais incontournable réunion. Sur deux jours, les 16 et 17 avril ça se passera dans cet incroyable bâtiment situé au 34 Quai d’Austerlitz dans le 13e arrondissement de Paris.
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Grâce à l’irremplaçable Yoann et à son incroyable réseau, le magazine RAD sera un peu présent sur place, en effet le stupéfiant rédacteur en chef de Génération Moto représentera son titre lors de l’événement. Un stand réunissant la fine fleur de Wild Magazine et de Génération Moto représentera aussi votre RAD préféré là-bas, elle est pas belle la vie ?
Bike Shed Paris2016

OÙ EST CHARLIE ?

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Tenir et maintenir un magazine est une aventure, c’est peuplé de tellement de choses ; beaucoup de très mauvaises, et heureusement pas mal de bonnes, il y aurait un scénario de film à écrire là dessus et un jour je le ferai. Mais d’ici là, au registre des bonnes rencontres ayant émaillé ce parcours d’obstacles, il faut citer Charles Séguy. Ce photographe motivé par la passion a publié son premier reportage dans les pages de RAD et depuis il fonce comme l’infatigable bosseur qu’il est. Désormais il est un partenaire indispensable à notre magazine, et pas seulement professionnellement, il compte au nombre des amis et ce n’est pas rien dans le contexte actuel. Il présente ces jours ci la refonte intégrale de son site dédié aux photos de moto, allez y faire un tour, c’est plein de bonnes et belles choses.
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Il existe aussi un site consacré à ses activités de photographe de mariage et même si, comme moi vous n’êtes pas autant passionné par cet aspect des choses que par les motos, vous y trouverez pourtant des très très belles photos qui vous montreront là encore tout l’étendue du talent et de la sensibilité du monsieur. Chapeau !!
Le site CHARLIE PHOTO en cliquant ICI

EMD et TheSpeedMerchant sortent un nouveau produit :

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Superbe couvercle de culasse pour les Triumph nouvelle génération, par EMD avec TheSpeedMerchant
EMD SM Triumph Cover
Plus d’info ici chez EMD ou ici chez TheSpeedMerchant

RAD#18 Retour sur Mad Max et les motos

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À L’OCCASION DE LA SORTIE EN SALLE DU NOUVEAU MADMAX FURY ROAD, UN APERÇU DES DIFFÉRENTES MOTOS VUE DANS LES PRÉCÉDENTS FILMS.
Sous la plume de Melvin Zed, grand spécialiste du cinéma de genre et expert es-Mad-Max, retour sur cet article qui a marqué les esprit, agrémenté de nouvelles images vues dans le film puisque nous n’avions pas encore pu le découvrir au moment où ce numéro fut publié.

Symbole de l’ultraviolence des seventies mettant en scène des flics dans des muscle cars surgonflées aux prises avec une bande de bikers hystériques, Mad Max est le film culte de toute une génération de petrolheads et de bikers. À L’OCCASION DE LA SORTIE DE FURY ROAD, RETOUR SUR LES MOTOS DANS LES MAD MAX.
Texte : Seri Zed

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En Australie, le film est vénéré de manière quasi religieuse et tous les mécanos du pays semblent passer leurs weekends à construire des répliques de March Hare ou de la Black on Black. Mais, si les voitures de la trilogie appartiennent aujourd’hui à l’inconscient collectif, il ne s’agirait
pas d’oublier que le premier Mad Max est surtout un film de motards, un drame influencé par L’équipée sauvage avec Brando, un film qui doit beaucoup à Stone, biker movie australien totalement culte dans le pays de Ned Kelly… Mad Max, c’est Orange Mécanique avec des droogs sur deux-roues, c’est la Horde Sauvage dans un monde où les motos ont remplacé les winchesters et où les sales types chevauchent les balles qu’ils tirent.  Tourné fin 1977 sur un budget anémique, Mad Max repose sur la débrouillardise et la foi sans faille de ses auteurs, le réalisateur George Miller et le producteur Byron Kennedy. Pour les motos pilotées par la bande du Toecutter (Hugh Keays Byrne), ils vont voir la firme Kawasaki qui offre à la production treize motos Z1000 de démonstration. Mais, parce que Mad Max est un film situé quelques années dans le futur, ils souhaitent maquiller les motos pour leur donner un air plus futuriste. Miller entend parler d’un crazy frog, Bertrand Cadart, un Français qui vient de s’installer en Australie et qui a monté une petite et inédite boîte de carénage : La Parisienne Engineering. Cadart a acheté quelques moules et commence, avec son partenaire Jack Burger, à fabriquer des carénages en fibre de verre. Miller passe le voir et ils se mettent d’accord pour que La Parisienne s’occupe des motos du film. Parce que le budget est inexistant, c’est le même moule qui va habiller Gosling One, la moto du  Goose et celle du Toecutter. Cadart a une idée : reprendre le vieux thème moyenâgeux du chevalier noir et du chevalier blanc, comme ça les gens n’y verront que du feu. La moto de Goose est donc peinte en gris métallisé, avec un sticker « Kwaka » en lieu et place de l’insigne Kawasaki, et celle du Toecutter en noir.
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 George m’avait dit qu’il voulait un gros plan du pneu pour qu’on voie vraiment l’arrière de la moto, très près de la caméra. Je lui ai dit qu’il fallait qu’il mette le pneu le plus moderne qui existe, parce que si son film se passait dans 30 ans, un pneu d’origine aurait eu l’air d’une antiquité. Il m’a dit : “oui c’est pas con” pendant que Byron couinait comme un cochon parce qu’il trouvait que je dépensais trop de fric. J’ai acheté un pneu Dunlop K91, ces pneus-là, y’avait pas plus moderne, plus futuriste, à l’époque. J’ai fait attention le plus possible aux détails comme ça… »  Cadart a une autre idée, révolutionnaire pour l’époque : « J’avais dit à Byron Kennedy : “si tu veux une moto futuriste il faut mettre des roues à bâtons !” À l’époque il y en avait très peu et ça valait hyper cher. J’ai trouvé des prix et lorsqu’il les a vus, il m’a dit que c’était hors de question car c’était beaucoup trop cher. J’ai quand même réussi à le convaincre d’en acheter une paire de la marque Lester pour la moto de Goose. » C’était une marque très connue à l’époque, pratiquement les seuls sur le marché qui proposaient les toutes premières roues à bâtons. Vu le prix, lorsque la moto du Goose est utilisée pour tourner des cascades, l’équipe va utiliser de simples roues à rayons. Pour rendre l’effet bâtons, Cadart va simplement enrouler du papier aluminium autour des rayons ! Pendant les semaines que nécessitent le travail sur les motos, Miller passe souvent voir Cadart dans son atelier pour discuter du film, assis sur des bidons d’essence avec une pizza sur les genoux. Miller lui confie qu’il a un souci, et ce souci va mener Cadart sur l’écran :
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« Je suis emmerdé, me dit Miller, je commence à comprendre que je connais rien à la moto et j’ai pas les moyens de me payer un expert sur ce sujet. Est-ce que tu voudrais bien faire ça ? J’ai pas l’argent pour, mais si je te donne un rôle est-ce que tu voudrais bien être mon conseiller expert en moto ? Sans paye supplémentaire ? C’est comme ça que j’ai eu le rôle de Clunk ! » Clunk le motard un peu demeuré qui joue avec l’éléphant gonflable ! Ces motos sont utilisées par les acteurs, mais les quelques extras qui ont été engagés dans la région de Melbourne pour épaissir les rangs du gang sont venus avec leurs propres engins. C’est le cas de Dale Bensch et de Terry Gibson, membres des Vigilantes, qui vont passer à la postérité en réalisant des exploits devant la caméra. Lorsque le gang envahit la petite ville et terrorise les habitants, Miller demande à Bensch s’il peut faire un donut sur le bitume. Le biker accepte contre un nouveau pneu. Miller est d’accord et lui promet qu’on lui en achètera un dès que possible mais Bensch n’a pas confiance en cette production étrillée par les soucis budgétaires. Il va attendre que Miller lui apporte le pneu pour tourner la scène. Plus tard, passé d’extra à cascadeur, Bensch couche sa moto mais rate sa cascade, la fourche vient percuter de plein fouet son casque. À l’image, la scène est incroyablement violente et les gens commencent à penser qu’il est mort dans l’accident. Il n’en est pourtant rien, l’impression de voir la tête balayée par un choc terrible est due au fait que  Bensch porte un casque trop grand, celui de l’acteur qu’il double… La moto ne fait que l’effleurer et il s’en tire avec un petit mal de crâne sans gravité. Son pote, Terry Gibson, va porter la défroque de Goose lors de la scène où ce dernier pousse sa moto à plus de 180 km/h, ficelé au cameraman qui filme la route sans casque derrière lui. Terry Gibson se souvient que David Eggby a presque perdu la caméra : à cause de la taille de la caméra, le vent l’a presque arrachée de ses mains…  une caméra à cent mille dollars ! « C’était une bonne cascade, plein de gens continuent de me demander : “comment t’as fait pour atteindre les 200 à Point Wilson Road, avec quelqu’un derrière toi en train de filmer ? J’ai moi-même essayé et j’y suis jamais arrivé, c’est impossible…”  et je me disais : ben t’as qu’à être un bon pilote de moto ! » Byron Kennedy et George Miller sortent de ces deux mois de tournage totalement épuisés et financièrement exsangues. L’argent fait tellement défaut que Kennedy tente de refourguer à l’équipe les sept motos qui ont survécu pour 5000 dollars le lot.
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Une offre absurde selon Bertrand Cadart.
« Je lui ai dit : “pourquoi veux-tu que je rachète ces motos qui ont été massacrées comme ça ? Ça ne m’intéresse pas du tout”. Il m’a dit :  “tu verras, un jour ces motos vaudront plein de
fric ! ” Je lui ai dit : “oui, tu parles !” Les motos ont alors été ramenées chez un casseur qui les a désossées. Aucune n’a survécu. Maintenant ça me fend le cœur évidemment ! » Quelques années, un succès énorme et quelques dizaines de millions de dollars plus tard, Miller et Kennedy se lancent sur la suite de Mad Max.  Cette fois-ci, Max et sa Black on Black vont sillonner les routes de l’outback australien. La production se pose dans la petite ville minière de Broken Hill, perdue au milieu du désert. Fini le temps des bikers, le clou du spectacle est ici un camion Mack R600 Coolpower ! Il n’empêche qu’on y trouve quand même quelques motos, notamment celle pilotée par l’infâme Wez, une Kawasaki Z-1 900 maquillée pour ressembler à une Suzuki Katana, une moto qui venait de sortir et qui avait impressionné Miller et Kennedy. Max Aspin, le coordinateur des cascades, a mis en place toutes les scènes dangereuses impliquant des véhicules, mais étrangement, lorsqu’il s’agit de demander à deux cascadeurs de grimper sur la moto pour faire une roue arrière, personne dans son équipe n’est capable de s’en charger. Aspin entre alors dans l’un des pubs du patelin et offre 600 dollars à qui en serait capable. Un biker local, Glen Parsons, se lève et grimpe sur sa moto. Il passe devant le pub en roue arrière tout en saluant Aspin. C’est donc lui, avec un copain, qui double Wez et son ami le Golden Youth, lorsque ces derniers sortent du cadre en faisant une spectaculaire roue arrière.
En 1984, lorsqu’ils tournent Mad Max : Au-delà du Dôme du Tonnerre, l’idée est de mettre en scène des véhicules recréés sur des carcasses, des caisses destructurées et des buggys… Reste que les figurants de Bartertown sont quasiment tous des bikers. À l’époque, il suffisait d’être un motard pour être engagé sur le film afin de grossir les rangs de la ville du troc… mais malheureusement, il s’agit moins de piloter les quelques motos customisées (des Honda pour la plupart) que de rester assis à peupler le décors post-apocalyptique de la ville du troc.
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Si la trilogie Mad Max narre le chemin de croix de Max, c’est aussi la chronique d’un monde qui sombre, de la disparition de la route et d’une mutation…  celle d’un petit film de bikers issu des années 70 en une large épopée futuriste…  Aujourd’hui, à l’aube de la sortie de Fury Road, on peut se demander si ce film pourra être considéré comme un Mad Max 4 ou s’il s’agit d’une refonte complète… D’après les bandes-annonces on peut déjà déduire qu’on est très loin de l’ambiance du premier, qu’on est même loin d’Au-delà du Dôme du Tonnerre : on est résolument dans un monde de pure SF. Les bagnoles sont des monstres hybrides, énormes, de véritables ogres lâchés dans le wasteland pour se repaître des engins motorisés perdus qu’ils pourraient intercepter. Dans ce monde apocalyptique, une des bandes-annonces dévoile l’un des gangs lancé à la poursuite de Max (Tom Hardy) et Furiosa (Charlize Theron), une bande de motards fagotés comme une tribu cannibale de La Guerre du feu. Un retour aux sources dans ce qui s’annonce une fuite en avant des plus épique.
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Copyright : © Warner Bros. Pictures and Village Roadshow Pictures MAD MAX : FURY ROAD, a Warner Bros. Pictures release.

UN SAMEDI AU FLAT TRACK

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Quelques images en guise de preview à la première édition du Flat Track Invitational de Macon organise par Vintage Racing Spirit. Plus d’images à suivre dans RAD et un peu de video ici même sous peu.