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Sportster Racer par Frankenstein Garage

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Pour ses 40 ans Stephen s’est construit, comme un cadeau qu’il se fait à lui même, un chop  1000 fonte, les Harley sont dans son ADN. Lorsqu’il s’est agit de se faire un racer, le choix n’a pas été dur à faire, basé dans l’Est de la France, il fait partie d’un collectif d’amateurs de bécanes qui bricolent ensembles sous le nom de Frankenstein Garage. Vous les rencontrerez surement si vous allez à Pecquencourt.
Lors d’un salon Motorama au Bourget, Stephen avait accepté de faire le déplacement depuis chez lui pour nous présenter son racer et l’exposer sur le stand RAD, c’est à cette occasion que Charles Seguy avait pu le shooter sous toutes les coutures, ce shooting n’avait jamais trouvé sa place dans l’édition papier, il était temps de le publier au moins en ligne. Son racer est motorisé par un moteur de Sportster evo en 1200 logé dans un cadre de 1000 fonte, de nombreuses modifications furent nécessaires pour l’y faire tenir. Le réservoir vient d’un scrambler BSA, le cul de selle d’origine Laverda modifié pour contenir le réservoir d’huile. Pour la petite histoire, le racer de Stephen est si racé que la béquille est une rallonge de cliquet… qu’on lui a piqué pendant le shooting…
 Pour voir plus de photos de Charles Seguy ou l’embaucher pour en faire d’autres, le lien vers son site est ICI

W650 Joy par Unikat

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Découvrez le boulot de l’atelier polonais Unikat sur leur site en cliquant ICI

Bretagne Classic 2017

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SAMEDI 15 JUILLET 2017, 18h00 :
« -Allô ?
-Demain, dimanche à partir de 9h, y aura une centaine de types avec des bécanes à moteur à explosion !
-De quoi ?!?
-Tu m’as bien entendu !
Faut avouer que depuis que le gouvernement a interdit la consommation de carburant-pétrole et que je me suis opposé à cette mesure en créant le parti «les arbres en plastique c’est fantastique», je reçois des coups de fil des plus étranges, mais de là à ce qu’un type m’appelle pour inventer une telle connerie ! Des vieilles pétoires qui font du bruit, qui pissent de l’huile et qui crache des flammes et ce sera à Plouay, dans le Morbihan !
-Attends, raccroche pas ! Putain, mais t’es qui?!? » Faut que j’aille vérifier par moi-même, car croyez moi que ce genre de concentres n’est plus monnaie courante et elles sont parfois si secrètes que l’organisation d’une rave party passerait pour un événement médiatique.
Je décide donc de me lever aux aurores le dimanche matin !

DIMANCHE 16 JUILLET 2017…11h00
Ces motels dont les chambres sont des carcasses de bagnoles empilées sont des pures merveilles ! Surtout quand t’as un max de crédits sur ta carte et que tu peux te payer une suite aménagée dans un camping-car au dernier étage. Pour ma part, je n’ai jamais dépassé le troisième étage, celui des citadines, ce qui est plutôt pas mal pour un pigiste de ma catégorie, car j’ai des potes de journaux locaux qui se tapent le rez de chaussé depuis des années, celui des voiturettes sans permis !
12h30
L’autotube ralentit, j’arrive à la gare de Plouay City, je débranche mon I-Phone 56 du plug encastré dans le fauteuil de devant après avoir sauvegardé mon article en cours sur le cloud et je me dirige vers la sortie. Il y a dix minutes de marche jusqu’au rassemblement, de quoi décourager tous les geeks alentour et avec son faible recouvrement internet, Plouay offre l’endroit idéal pour ce genre de meeting, invisible aux satellites Google. Je croise des types avec des t-shirts estampillé Norton, Trophée Gérard Jumeaux, Coupes Moto Légendes… Devant moi , une brochette de paddocks d’un autre temps, des bécanes qui rugissent, des glingues autour, des camtards dont la peinture tient grâce aux stickers de bouclards depuis longtemps disparus et des motards penchant du côté de la béquille, et parfois aussi vieux que leurs montures ! Les combinaisons sont élimées et leurs fermetures éclair ne sont pas revanchardes et serrent les dents au niveau du ventre de leur proprio sans rien lâcher pour ne pas les vexer.
 autant dire de vrais dangers publics qui n’ont pas peur de se faire serrer par la milice pour incitation à la baston mécanique.  Je ne sais pas si c’est la poussière de ces terres hostiles mais les yeux n’arrêtent pas de me piquer et je me les frotte frénétiquement, ma vue me fait défaut et les couleurs commencent à disparaître progressivement, et j’ai tout à coup l’impression de me retrouver sur la péloche de Continental Circus version noir et blanc. J’empoigne mon Nikon et je mitraille toutes les motos que je vois, je scrute leurs courbes, admire leurs carters, reste émerveillé par leurs carénages qui embellissent leurs rondeurs. Je prends une cinquantaine de photos ! Pourtant , lorsque je les visionne à la buvette, je me rends compte qu’elles sont sans vie, qu’elles n’ont aucun volume, aucune âme, et c’est là que je saisis que depuis des années je n’ai rien compris à ce monde en voie de disparition ! La moto, c’est un tout, l’homme et la machine, l’un n’est rien sans l’autre.  La plus belle monture ne sera qu’un assemblage de pièces sans un pilote qui l’aime, qui la sollicite sur la route, qui la soigne lorsqu’elle est blessée. Alors, je prends mon holocapteur Nikon et je clique sur «effacer» pour ne conserver que les images où l’on voit cette communion entre le binôme, celles où l’on voit le motard épuisé, ou lorsqu’il retire sa CombiRace avec difficulté, les marques de l’âge et l’inquiétude de son épouse lorsqu’il part au combat sur son fidèle destrier ou lorsqu’il rentre à l’écurie. Ce dimanche, j’aurai vu des pilotes connus et d’autres moins connus mais tous autant remarquable. Je remonte dans l’autotube, le sourire aux lèvres. Je range mon Nikon dans mon sac à dos et j’en sors un vieux bouquin publié au début du 21ème siècle et qui s’intitule « Nous rêvions juste de liberté ». Il me reste une heure et demie avant d’arriver à mon auto-motel, je vais sûrement arriver à finir le premier chapitre…Mais au fait, sais-je encore lire ?
Découvrez l’univers de Greg en cliquant ICI

Ceci n’est pas un cafe racer

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Il aura fallu un an et demi à Markus Pintzinger pour terminer la réalisation de cette moto qu’il a nommée  “Sunmaster 14”. L’homme est aux commandes de la société Omega Racer et, parmi ses occupations, il distribue des pièces pour les Yamaha SR ; autant dire qu’il savait très bien où et comment trouver les meilleurs éléments pour son projet et ce malgré le fait qu’il soit établi en Thaïlande depuis une dizaine d’années.Markus a trouvé ce nom “Sunmaster14” dans une nouvelle d’Isaak Asimov et il l’a noté dans un coin de sa tête comme étant probablement évocateur de nombreuses choses et que probablement il l’utiliserait par la suite. Lorsque les premières esquisses ont été faites pour ce projet, ce nom s’est imposé de lui-même à Markus qui y retrouve ce qui fait l’essence même de cette moto. 

LA YAMAHA SR EST UNE MOTO TRÈS POPULAIRE, LA DEMANDE DE PIÈCES DÉTACHÉES EST FORTE.

Notre homme ne mâche pas ses mots et il ne souhaite pas qu’on puisse pratiquer d’amalgame à la légère, il déclare : « Les gens sont bien prompts à coller l’étiquette cafe racer ces derniers temps sur tout et n’importe quoi, mais ma moto n’en est définitivement pas un. Je puise mon inspiration dans les motos de course des années 60 et 70 à l’époque où chaque pièce qui était ajoutée, remplacée ou virée l’était avec comme objectif spécifique de permettre à la moto d’aller beaucoup plus vite. 
Mon objectif était de créer une moto dotée de lignes simples et intemporelles avec un vrai côté racing. »  Effectivement, on est immédiatement attiré par les courbes sensuelles du carénage en alu, réalisé à une seule unité par le même fournisseur qui lui a fabriqué à la main le réservoir et le cul de selle, qui eux sont en alu aussi mais brossé cette fois. La selle en cuir a été réalisée par les gars de l’atelier The Sports, l’un des plus talentueux de Thaïlande. Markus s’est occupé de son côté de réaliser la bande qui maintient le réservoir en place, les badges qui prennent place sur ses côtés et le garde-boue en fibre sous le cul de selle. Le cadre de cette SR400 a été passé à l’époxy… trois fois. La boîte qui avait été mandatée pour le faire ayant merdé deux fois, ce n’est qu’après avoir déniché Cog’n’Roll, un atelier spécialisé de Bangkok que Markus s’avoua enfin satisfait du résultat, ce bronze satiné serait la teinte qui se marierait le mieux avec le  marron foncé de la selle.

POUR UN PREMIER ESSAI DE MODIFICATION D’UNE MOTO MARKUS EST ALLÉ AU BOUT DE SON RÊVE.

Le moteur a été démonté de A à Z, nettoyé avant d’être remonté, si à l’intérieur rien de nouveau n’a été ajouté, c’est maintenant un Keihin FCR39 qui fait carburer le mono Yamaha et le tout s’exprime via un joli mégaphone chromé. Un radiateur d’huile a été ajouté et les durites sont d’un diamètre supérieur à l’origine. Des jantes Akront, des amortisseurs Öhlins à l’arrière et des ressorts WP dans la fourche, plus un bras oscillant léger en alu, voilà quelques ingrédients supplémentaires à la recette du mono racing selon Omega Racer. Cette Yamaha SR400 de 1998 n’a pas seulement l’air belle, elle est aussi efficace et racée et Markus en est pleinement satisfait. Pour son premier exercice sur cette base dont il est devenu un grand amateur on peut dire qu’il a fait du bon boulot.

 

Rendez-vous au rond rouge

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En 1967, il y a exactement 50 ans, la nébuleuses de marques que constituait le groupe pétrolier français se fond en une seule entité, plus visible, plus lisible et plus logique dans le contexte économique de la fin des trente glorieuses. La conjoncture est là, guerre du Kippour, crise de Suez et décolonisation, les premières crises pétrolières ne sont pas loin. Dans le plus grand secret et à grand renfort de ruses et de fausses nouvelles pour noyer le poisson, l’industrie des pétroles français devient ELF, en une nuit, le réseaux des stations services qui pouvaient arborer toute une série d’autres marques comme Caltex par exemple, se parent du tout nouveau logo, les ronds rouges qui signaleront leur présence aux automobilistes envahissent les nationales.
C’est autour de cette signalétique, comme une archéologie urbaine d’un passé récent mais très fragile dont la trace peut hélas très vite disparaître, que Jean-Baptiste Sauvage axe son travail, pour lequel il rejoint ici celui d’Olivier Mousset. Les deux artistes s’intéressent aux abstractions géométriques que laissent les traces de la communication ou des signes sur le paysage. Une vielle enseigne ayant perdu son message mais ayant gardé sa forme géométrique imprime une trace de son message visuel disparu, puis s’efface. Ils avaient convoqué le public ce samedi 8 juillet à Peyrus dans la Drôme, non loin de Valence en direction du col des Limouches devant un vestige encore debout, rescapé des 4200 stations services du groupe Elf qui arborèrent le point rouge, ici elle l’arbore toujours et sa persistance fantomatique en est fortement émouvante, on se prend à vouloir la restaurer à lui redonner vie. Tout un monde de motos classiques et d’automobiles mythiques comme cette berlinette était présent.
Un film avait été réalisé par Alain Boisnard en 1967 à l’occasion de cette grande mutation et du passage au logo Elf, autant à destination du grand public que des institutions probablement pour faire passer le message et expliquer la démarche. Ce film fut projeté à la nuit tombée sur ce qui fut la vitrine de cette station service depuis longtemps asséchée. Nous avons donc puis suivre ce moyen métrage dans ce lieu chargé d’une histoire encore trop considérée comme triviale et qui a jusqu’ici trop souvent été effacée sans qu’on s’en inquiète, mais les choses changent semble-t-il. Après un verre offert par Monsieur le Maire de Peyrus, les motos et les autos ont repris la route dans la chaleur de la nuit de juillet.
 
Vous trouverez plus d’explications sur le travail d’Olivier Mosset et de Jean-Baptiste Sauvage à l’adresse suivante : www.espacedelartconcret.fr/fr/exposition/olt

Le Tracker Mk2 de Pepo sur base de Honda 250 CBF

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En partant de la modeste base qu’est une Honda CBF 250 de 2004, Pepo fait parler tout son talent pour livrer ce Tracker Mk2 très radical, il ajoute un garde boue de Ducati Monster à l’avant, qu’il modifie, un disque de frein NG devant, un phare de Mash 125, de l’art d’accommoder les restes car le réservoir aussi provient d’une Mash amélioré avec un bouchon Monza, un guidon Vicma et un cul de selle minimaliste en poly réalisé maison ainsi que sa selle. Le cadre d’origine a été modifié et la boucle arrière recréée, les supports de repose-pieds proviennent d’un Suzuki Bandit et les repose-pieds eux mêmes sont fait maison en ergal, le support de plaque d’immat est réalisé en alu, une belle chaîne Tsubaki bien dorée vient orner tout ça. C’est Super Mario qui a fait la ligne d’échappement, terminée par un silencieux Spark GP, la belle peinture orange metalflake est l’œuvre de Pintumoto, et Cesar Godoy a fait les photo.

   

Full Métal Guzzi

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Lors de notre journée de piste RAD Racing au Luc est venu se garer une très belle Moto Guzzi qui étincelait sous le soleil du Var, l’occasion d’en faire quelques images pour la rubrique RAD Bécanes

Give a good fork to your Bonneville

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This New T120 is very attractive, in its category it fulfills absolutely the mission which is its own; It gives a lot of sensations and its 1200 cc’s completely new bi-cylinder is responding at any rev. The throttle ride by wire offers the possibility of popping out of trafic with a surprising vivacité, the horspower are there, nothing supersonic, we’re not on a Street triple, but frankly there’s an strong answer. Braking system with its double discs is quite correct, that’s what was missing the old versions and will continue to miss the street twin of the low range, but here, everything is ok. The only negative point here could be a very perfectible shock absorbing system and especially a fork that pumps so much and more, for a motorcycle of such power and weight, this may be a handicap. This road test gives us the opportunity to look at an article designed and manufactured in Italy by the company FreeSpirits to remedy this, unfortunately available only for the Bonneville ranges from 2001 to 2015, Thruxton 2004 to 2015, Scrambler 2006 to 2016, America, Speedmaster and then on the new street twin, street cup, street scrambler, the T100 from 2016 and the bobber. Don’t get me wrong, it’s not a trick to add a shim on the spring but a complete system, conceived and build in Italy which allows for a much better response from the fork and greater stability of the front end.
We will see, step by step,
how to install this device

Unscrew the cap from the fork tube. Remove the spacer, spring and drain the oil.

Pull the fork tube and unlock the allen screw to remove the damping rod. Watch out! If necessary use the Special Extractor Code 301303.

For 790-865 cc models, deburr the inside of the hole as in the photo on the right.
For Models Since 2016, deburr the inside of the hole as in the photo on the right

insert reducer then lock the damping rod as photo.

Add the OEM oil or SAE10. Pump the rod down, slowly to vent air. Measure the amount from the top edge (Reffer to the chart on page 7). The measurement is carried out with the stem fully compressed.

Insert the valve into the spring. Be careful : if the valve does not block, lightly tighten the spring as photo.

Pull lightly, and check the valve slide as photo. Fit the spring in as pictured.

2016 and up models : Insert washer and spacer as photo.

790cc & 865cc, insert washer and spacer – Attention ! models with preload system have a disk washer on top of the spacer.

You’ll find this item on clicking HERE, ask to your regular mechanic expert to order it for you and let him install it on your motorcycle.
Having the stem fully extended, refit the cap.

Offrir une bonne fourche à sa Bonneville

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Cette nouvelle T120 est vraiment séduisante, dans sa catégorie elle remplit absolument la mission qui est la sienne ; elle donne beaucoup de sensations et son bi-cylindre de 1200cc totalement nouveau est présent à tous les régimes. La poignée de gaz ride by wire offre la possibilité de s’extirper de la circulation avec une vivacité surprenante, les watts sont là, rien de supersonique, on n’est pas sur une Street Triple, mais franchement il y a de la réponse. Le freinage avec son double disque est plutôt très correct, c’est ce qui a manqué aux anciennes versions et qui continuera à manquer à la Street Twin d’entrée de gamme, mais ici tout va bien. La seule ombre au tableau pourrait être un amortissement très perfectible et surtout une fourche qui pompe tant et plus, pour une moto d’une telle puissance et d’un tel poids, cela peut constituer un handicap. Cet essai est l’occasion de se pencher sur un article conçu et fabriqué en Italie par la société FreeSpirits qui permet de remédier à cela, hélas disponible pour les gammes Bonneville de 2001 à 2015, Thruxton 2004 à 2015, Scrambler 2006 à 2016,

America, Speedmaster et puis sur les nouvelles Street Twin, Street Cup, Street Scrambler, la T100 à partir de 2016 et le Bobber. Ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas d’un tour de passe passe qui consisterait à ajouter une cale sur le ressort mais bien d’un système complet, étudié et fabriqué en Italie qui permet d’avoir une bien meilleure réponse de la fourche et un plus grand stabilité du train avant.

Nous allons voir, étape par étape, comment installer ce dispositif

Dévisser le bouchon du tube de fourche. Retirer l’entretoise, le ressort et vidanger l’huile.

Tirer le tube de fourche et déverrouiller la vis 6 pans pour retirer le tube plongeur. Attention! Si nécessaire utilisez l’outil spécial extracteur code 301303.

Pour les modèles 790-865 cc, ébavurer l’intérieur du trou comme sur la photo à droite.
Pour les modèles depuis 2016, ébavurer l’intérieur du trou comme sur la photo à droite.

Insérer le réducteur puis remettre le tube plongeur et le verrouiller à nouveau

Ajouter l’huile d’origine ou SAE 10. Pomper lentement pour enlever les bulles d’air. Mesurer le niveau du bord supérieur de l’huile. La mesure doit être fait avec la canne comprimé

Insérez la valve sur le ressort. Attention: serrer légèrement le ressort si la valve ne reste pas en place.

Poussez légèrement et vérifier le le fonctionnement de la valve. Insérer le ressort avec la valve comme sur la photo.

Modèles depuis 2016 : Insérer la rondelle et l’entretoise comme sur la photo

Pour les modèles 790-865 cc. Insérer la rondelle et l’entretoise. Attention les modèles avec la norme de précharge du ressort “Thruxton” avoir une entretoise supplémentaire)

Vous trouverez ce dispositif chez FreeSpirits en cliquant ICI, à faire commander et installer par votre mécano moto habituel.
Avec le tube totalement sorti, remettre le bouchon.

Roulage RAD Racing au Luc d’avril 2017

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Henri avait sorti la RS 250, une machine très agréable, un vrai rail que j’ai pu essayer sur quelques tours seulement.

L’armada Sun Motorcycles, la Pantah qui cache la Goldstar Seeley.


La société Ten Sixty était venue en voisine avec cette Matchless G50 que JB a piloté.

La Seeley Goldstar de Sun Garage en détails

Le boss de l’Atelier Flatmaxx en flag de dopage, l’antésite aiderait sa moto à rouler vite…


Un moteur Norton et un cadre Curtiss, voilà la moto de Philippe de SudSide,
détail ci-dessous

Pour en savoir plus sur Rem, l’auteur de ces photos, cliquez ICI

Triumph Montlhery remporte le Thruxton Project

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Cette magnifique Thruxton a remporté le Thruxton Project, elle a été construite par l’équipe de la concession Triumph Monthlery, elle a bénéficié de nombreuses belles pièces. Ci-dessous les autres préparations dans l’ordre décroissant du classement.

Workers Motorcycles propose deux bijoux

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Les deux compères seront présents à Cantal Wheels début juillet, si vous passez par là, vous pourrez découvrir leur travail prometteur.